ville

La forêt penchée.

 

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Voici le projet « Forêt Ivre » par Alexis Tricoire. Ces amusant balais végétal font référence à une problématique essentielle le réchauffement planétaire et tout particulièrement les arbres couchés après une tempête.

Cette installation ludique et dynamique provoque un désordre visuel dans le cadre géométrique du jardin à la française à la « Le Nôtre ». Prisonniers d’un mouvement qu’ils ne maîtrisent pas, ayant perdu le sens de la verticalité, les arbres inclinés sont l’image symbolique de l’effrayant désordre chaotique qui s’abat sur mère nature.  La nouvelle version est fait de métal et de tissu lycra.

 

 

 

 

 

Du vent dans le dos…

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Très beau projet de mobilier semi-urbain qui prend en compte l’histoire du lieux et le travail des artisans locaux.

Situé à Verchères, un petit village à proximité de Montréal, ce monument crée par les Ateliers Guyons rend hommage aux premiers fondateurs de la ville qui sont arrivés par le vent et l’eau dès 1740 dans la région. Les promeneurs peuvent alors s’asseoir sur ces bancs du parc et revivre l’histoire de Verchères.

Vous pourrez voir aussi sur son site les nombreux autres projets tel que du mobilier d’intérieur, vélo et autres aménagements d’espace.

Une vision surréaliste des choses.

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Voici le travail du photographe belge Filip Dujardin, inspiré par l’architecture et les paysages typique. Ces compositions sont profondément surréaliste défiant la fonctionnalité en évitant de créer des mondes utopiques dont les arrangements évoqueraient le romantisme.

Son dernier travail comprend des photographies prises sur la côte française de Deauville et les environs de Guimaraes au nord du Portugal. Ses agencements photographiques sont constitués de bâtiments réels, qui sont ensuite transformées en nouvelles structures fictives avec l’utilisation de techniques de collages numériques. Les formes architecturales, bien que familière, deviennent des environnements oniriques où des éléments sont érigés, insérés, multipliés ou alors plantés de façon improbable.

Ses compositions irrégulières sont à la rencontre du réel et du numérique, et correspondent parfaitement aux milieux naturels. Dans le même temps, la juxtaposition donne une nouvelle dimension au collage photographique et offre un autre point vue sur les trompe-l’œil.

Filip Dujardin, même s’il transforme ces photographies, il garde le meilleur en respectant leur histoire et leur importance culturelle. Son côté surréaliste nous offre une merveilleuse envie d’évasion de l’esprit.

La ville sombre sous la peinture.

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Jeremy Mann est un artiste américain qui vit à San Francisco. Il créé ces magnifiques peintures à l’huile de paysages urbains assez sombre.

Les rues sombres de la ville semblent être trempé par la pluie, évoquant des sentiments d’émerveillement et de mystère. Tout ce que j’aime dans la ville.

Avec les multitudes de peinture sur son site, découvrez d’autre facette de la ville américaine.

L’apiculteur urbain, l’apiculteur de demain.

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Le designer néo-zélandais Rowan Dunford a développé un produit pour amener l’apiculture aux milieux urbains pour limiter la diminution de la population d’abeille. L’apiculture est très répandu dans les villes maintenant car la campagne est bourré de pesticide avec l’agriculture intensive.

Les abeilles étant cruciale pour l’approvisionnement alimentaire du monde, la création de produits tels que la ruche urbaine pourrait aider à stabiliser le problème en facilitant le processus de l’apiculture.

Parfait pour les débutants, la ruche moderne est simple d’utilisation et conçue en kit. Vous pouvez  ainsi facilement empiler plusieurs ruches pour construire votre propre colonie.

A vos pots de miel!

A voir aussi:

Le miel Béton

Parti poétique

Un nouveau souffle pour des lampadaires public.

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L’an dernier, l’artiste Michel de Broin a présenté une brillante nouvelle œuvre d’art public au « Prospect Nouvelle-Orléans », la  biennale art  internationale.

Construit entièrement à la Nouvelle Orléans avec l’aide d’artisans locaux, « Majestic » est une structure en forme de satellite composé de 10 nouvelles lampes de la rue Orléans qui ont été arrachés à leurs racines industrielles par l’ouragan Katrina.

Environ 8.22 m de haut et 10 m de diamètre, l’œuvre immense, éclaire réellement la nuit.

Selon E-Flux, «En ressuscitant, utilisant les luminaires publics et en les plaçant de nouveau dans un espace public, de Broin aborde les questions de l’entropie et de la réorganisation des systèmes. »

+ The Harpo Foundation

Tomas Saraceno est dans les nuages.

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Artiste, architecte et visionnaire, Tomas Saraceno veut, à travers son « utopie réalisable », conquérir l’espace entre le ciel et la Terre.

Son projet d’espaces d’habitation et de vie se décline comme un système de modules flottant dans l’air. Encore étudiant à l’école d’architecture de Buenos Aires, Tomas Saraceno marquait déjà les esprits par son originalité.

Après avoir fréquenté l’École nationale des arts plastiques de Francfort (la Städelschule), il a fondé dans cette ville un studio, employant jusqu’à 35 personnes.

Depuis son exposition à la Biennale de Venise en 2009, les plus grands musées se l’arrachent. Dans le musée berlinois de la Hamburger Bahnhof, Tomas Saraceno a installé des capsules transparentes accrochées à des cordes fines. À New-York, ses modules sont visibles sur le toit-terrasse du Metropolitan Museum pour former une Ville nuage, kaléidoscope réussi de la skyline de Manhattan. Des oeuvres poétiques d’une beauté saisissante qui défient les notions traditionnelles d’espace et de temps.

Le liens Arte d’un reportage fait sur lui

BRUSSELICIOUS: BXXL.

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Les super-héros de la gastronomie bruxelloise descendent sur la ville.

Dans le cadre de «Brusselicious 2012, année gourmande», l’exposition Brusselicious XXL, ou BXXL, s’installe dans la ville avec 35 œuvres monumentales, basées sur 5 éléments emblématiques: choux de Bruxelles, tablette de chocolat, moule et gaufre,  verre à bière, cornet de frites géants. Ils ont été décorés, détournés, customisés… de manière originale par des artistes (photos des œuvres).

À l’initiative du gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, VisitBrussels met en œuvre cette scénographie originale d’avril à juin dans les rues et sur les places les plus connues de la capitale. Ces œuvres de 5 mètres de haut seront ensuite rassemblées de juillet à septembre dans le Parc de Bruxelles.

Plusieurs de ces œuvres se trouvent dans les quartiers centraux de la Région: à Saint-Gilles (Parvis), Bruxelles (Place Sainctelette, Vieux Marché aux Grains, Tour et Taxis, Boulevard Albert II), Saint-Josse (Place Saint-Josse), Anderlecht (Abattoirs et Place de la Résistance).

Un appel à candidatures avait été lancé auprès d’un grand nombre d’artistes qui devaient rendre un projet original sur base des images 3D de 5 objets emblématiques. Plus de 120 projets ont été soumis à un jury de professionnels, qui a finalement retenu 30 œuvres. Plusieurs écoles d’art ainsi que des institutions de mode et design de Bruxelles ont également pris part au projet, pour 5 œuvres supplémentaires.

À la fin de Brusselicious XXL, ces œuvres hors du commun pourront être achetées par des particuliers, des entreprises ou des institutions.

Je peux vous dire que les oeuvres viennent d’être installé dans le Parc de Bruxelles en face du Palais Royal. Vous pouvez déjà les admirer, les techniciens sont en train de les mettre en place un peu partout dans le parc.

Le détail de chaque oeuvre avec leur auteur en PDF: Brusselicious BXXL

Une nouvelle zone piétonne pour Bruxelles.

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La ministre bruxelloise des Transports et des Travaux publics Brigitte Grouwels (CD&V) et le bourgmestre de Saint-Josse Jean Demannez (PS) ont inauguré le 14 avril le « Walking Madou », le tronçon sans voiture de la chaussée de Louvain (Place Madou, Bruxelles), un projet provisoire imaginé par le bureau d’architecture Suède 36.

Le réaménagement de la chaussée de Louvain a été lancé entre Madou et la place Saint-Josse en vue de créer une zone piétonne. Cette zone a été interdite aux voitures. Chaque jour, quelque 12.000 piétons passent à cet endroit.

Le projet préliminaire a été réalisé avec des matériaux réutilisables. La zone piétonne a été repeinte entièrement en jaune. Seuls les bus à destination de la place Saint-Josse peuvent encore circuler sur ce tronçon, mais à vitesse réduite, comme les cyclistes.

Des carcasses de véhicules servant de bacs à plantes sont stationnées sur la place, décorée également par des manchons à air. Un espace fitness a été aménagé rue Léopold Lenders, derrière la Tour Madou. Un point info a été installé place Saint-Josse: ici.