typographie

De la typographie dans votre barbecue.

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L’été et les barbecues arrivent et les supermarchés vont encore se battre pour vous faire acheter chez eux. L’agence Anti basé à Oslo a proposé à la chaîne de supermarché RIMI de se démarquer de ses concurrents avec une idée des plus originale pour vos grillades entre amies.

Ils ont conçu la « Grillography », une typo composé à partir d’aliment grillé. Les lettres sont formées avec la forme naturelle de la nourriture: viande, poissons, fruits et légumes.

Des bubulles!!!

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L’agence de design graphique espagnol Lo Siento a conçut pour le magazine japonais « +81 Magazine ».

Il crée ainsi une couverture contenant du papier bulles dont on a injecté sur certaine de la peinture pour former une typographie.

Une idée ingénieuse qui offre une autre vision ou possibilité de communiquer.

La typographie par Paul Collier.

Et oui, le design ne concerne pas que vos meubles mais aussi les typographies que vous rencontrer tous les jours.

Voici, un superbe court métrage de Danny Cooke sur la typographie dans l’un des rares ateliers d’imprimerie à caractères mobiles au Royaume-Uni, situé à l’Université de Plymouth, mettant en vedette Paul Collier.

Letraset, l’Adobe d’antan.

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Le Letraset était l’Adobe des années 70, c’était l’outil indispensable des graphistes de l’époque.

Les caractères transfert était des polices de caractères imprimés par planches de différents formats, que l’on pouvait transférer un à un sur le support de son choix, par frottage au moyen d’un stylet, d’un stylo-bille ou de tout outil approprié. Le terme anglais, dry transfer (« transfert à sec »), indique bien qu’il s’agit d’un décalque sans solvant ni eau. Une planche de caractères transfert contenait un jeu de caractères dans un corps donné (qui peut aller du corps 6 au corps 144), généralement complet (capitales, bas-de-casse, chiffres, signes diacritiques). Le support, transparent, permettait de repérer exactement la position de la lettre à transférer. La principale difficulté, dans ce travail « manuel », étant de positionner régulièrement les caractères les uns par rapport aux autres, certaines planches étaient munies de repères supposés faciliter ce travail.

Ce procédé était utilisé majoritairement pour des caractères typographiques, mais aussi pour des motifs décoratifs, des dessins ou divers types de textures (trames). Le besoin grandissant de polices différentes dans tous les domaines de la communication se satisfaisait mal des possibilités réduites offertes par la typographie (les polices en plomb étaient lourdes, encombrantes, onéreuses) et les premières machines de photocomposition avaient un répertoire de polices souvent réduit.

Les feuilles de transferts à sec étaient fabriqué par Letraset, une société britannique. Il y avait beaucoup d’autres marques comme Chartpak ou Mecanorma mais Letraset était une marque incontournable et de qualité. Ils avaient un meilleur rendu, un plus grand choix et parfois créaient des lettrages design exclusif.

Letraset avait des transferts très spéciaux pour les architectes, voir, pour des entreprises de grande ampleur il fabriquait des logos sur mesure .

Si vous étiez un studio qui avaient les moyens, vous aviez un rangement exprès pour les transferts à sec. Très utile car l’ennemi des transferts étaient la saleté et la poussière. Il fallait faire aussi très attention car les lettres pouvaient ce craqueler.

Malheureusement, le développement de l’informatique a rendu l’utilisation professionnelle des caractères transfert obsolète. Ils existent toujours, mais sont réservés à un usage personnel et familial.

[Letraset]