art

Entre tradition et modernité avec les œuvres de Faïg Ahmed.

 

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Ce que vous voyez là, se sont des séries d’oeuvre d’art de l’artiste azéri ( Azerbaïdjan) Faïg Ahmed. Il travail le tapis qui est l’icône de la tradition orientale jusqu’à pousser les limites visuelles des motifs qui sont normalement très régulier.

Son art est orienté vers la transformation de ces limites au delà de toute reconnaissance.  Il les modifie comme sont transformé ou amélioré des milliers de choses dans le monde qui sont issu du passé.

 

Des portraits sur-réel.

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J’ai vraiment adoré les clichés du photographe Romain Laurent qui dans cette série nous amène tout droit dans un monde surréaliste, une pause dans notre espace temps.

Dans ces portraits animés frôlant l’absurdes, intitulé « One Loop Portrait a Week », le photographe s’inspire à la fois de Sempé, de Philippe Ramette, de Michel Gondry mais je les trouve aussi très proche de l’univers de Erwin Wurm. Il prend des photos et faits des montages qui fonctionnent apparemment au « feeling » .

 

 

 

 

Le surréalisme au quotidien avec Katarina Kamprani.

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Katarina Kamprani, ou kkstudio, a quelques projets cool. Elle repense les objets du quotidien pour en faire une version inconfortable, menant à des conceptions drôles et intéressants qui parfois peuvent rendre mal à l’aise.

Les images ont été produite à partir du logiciel 3dsmax et Vray et après en post production sur Photoshop.

Les tampons du tampographe à l’humour sanglant.

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Quel fantastique et horrible Tampographe. Il est passé maître dans ce métier après être devenue dessinateur illustrateur pour des grands journaux. Il est tombé dedans et maintenant il en est devenue accro. Le sérieux est son passé, son avenir est déprimant mais s’est ça qui est drôle dans son travail. Car fabriquer des tampons, c’est un métier, et cela demande beaucoup de manœuvres (voir vidéo).

Cette artiste s’est Vincent Sardon un basque dessinateur français. Il crée des tampons. Ses tampons sont des jeux graphiques qui renouvellent de fond en comble le genre agonisant et ringard de la gravure, ses poussées de haine sont le prétexte à des textes autobiographiques hilarants qui traitent de la vie d’artiste en milieu hostile.

Il n’y a qu’a voir l’en tête de son site: « LE TAMPOGRAPHE NE FABRIQUE JAMAIS DE TAMPONS SUR COMMANDE. IL N’AIME PAS LES ARTISTES, IL S’INTÉRESSE PAS À LEUR TRAVAIL, IL N’A AUCUNE CURIOSITÉ POUR LES MERDES QU’ILS PRODUISENT GÉNÉRALEMENT, S’IL POUVAIT IL LES EMPLOIERAIT VOLONTIERS À GOUDRONNER LES ROUTES, CURER LES FOSSÉS, VIDER LES POUBELLES OU CREUSER LE CANAL SEINE-VOLGA ».

Dans  Sardon’s City, attention s’est du lourd, vous y trouverez des tampons caustiques et à l’esthétique graphique à l’humour noir, décalé, corrosif et pourquoi pas trash. Vous pouvez acquérir ces tampons à partir de son blog ou sur sa boutique en ligne letampographe.bigcartel.com.

« Le Tampographe Sardon en train de fabriquer des tampons ». Film de neuf minutes réalisé en 2011 par Patrick Arnold pour le Centre Pompidou.

Du ruban adhésif, la rue et du rêve.

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L’artiste de rue australien Buff Diss crée des œuvres d’art avec du ruban adhésif. Plutôt que d’utiliser la peinture en aérosol, Diss Buff a choisi d’utiliser du ruban adhésif car il aime les graffitis qui peuvent être éphémère.

Encore un artiste collé à la rue!

 

 

Plein de vie.

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La peintre Erika Pochybova-Johnson est une artiste autodidacte qui s’appuie sur son intuition pour peindre ses œuvres incroyablement colorées figuratifs et abstraits.

Sa palette d’artiste fait de couleurs très vives permet à chaque tableau une explosion de vie.

Sa série de peintures sur les arbres est particulièrement intrigante en raison de son choix artistique de concentrer cette gaieté multicolores sur les racines des arbres. Elle représente les arbres avec la partie racine plus grande que l’arbre lui-même. Le contraste est là, entre l’arbre mort et ses racines. Un jeu de miroir, le reflet de l’arbre.

De l’or dans les mains.

Documentaire de Faythe Levine & Sam Macon sur des peintres d’enseignes qui font les enseignes à la mains.

Il fut un temps, pas plus tard que dans les années 80, les vitrines, les bannières, les pancartes, les affiches et même les plaques de rue étaient calligraphiés au pinceau et à la peinture. Mais, à l’instar de nombreux métiers spécialisés, l’industrie de l’enseigne a été remplacé par les modèles industriel plus rapide et moins cher.

Heureusement, la recherche de peintres d’enseignes traditionnelles est de nouveaux tendances.

Un art qui ne se perdra pas.

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La chaise déstructurée.

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La  » 3/4 Place Keeper Chair » de Julian Sterz, fait parti de son sujet de diplôme sur l’identité et les archétypes. A la frontière entre l’art et le design, il recherche par l’expérimentation, en prenant une chaise, à savoir combien de forme et de fonctionnalité peut elle recouvrir avant de cesser d’être une chaise.

Il a d’abord pensé à utiliser une chaise de grande valeur comme une chaise Louis XIV ou un fauteuil Eames, mais il a finalement opté pour une simple chaise en bois présent dans tous les foyers. Avec ce projet il remet en question les conventions et fait vraiment réfléchir. Il étudie la relation entre un objet et la signification attachée à elle. Cette chaise classique devient alors quatre nouvelles chaises, les pièces manquantes dans chaque cas sont remplacé par un élégant cadre en métal.

«L’idée était de concevoir une chaise dont les six éléments de base (quatre pieds, une assise et un dossier) ont été rejoints par une autre partie en plastique moulé, «  dit Julian Sterz «Au cours du processus de conception je voulais mettre l’accent sur ​​les caractéristiques de la chaise grâce à une division systématique des parties. »

 

Des panneaux publicitaires d’un autre genre.

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Voici un projet urbain qui change les panneaux publicitaires en créant un jardin suspendu en bambous.

Chaque installation comprend un série de bambou, des brumisateurs d’eau, ainsi qu’un détecteur environnementaux WiFi pour surveiller la qualité de l’air.

Le créateur de cette installation, Stephen Glassman , déclare: « mon intention est de provoquer une fissure dans le paysage urbain de sorte que lorsque les gens sont coincés dans les embouteillages, ils puissent voir un espace vivant et rafraîchissant qui leurs permettent de prendre une respiration intérieure et se sentent comme des humains »

La ville sombre sous la peinture.

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Jeremy Mann est un artiste américain qui vit à San Francisco. Il créé ces magnifiques peintures à l’huile de paysages urbains assez sombre.

Les rues sombres de la ville semblent être trempé par la pluie, évoquant des sentiments d’émerveillement et de mystère. Tout ce que j’aime dans la ville.

Avec les multitudes de peinture sur son site, découvrez d’autre facette de la ville américaine.