arts

La musique en construction.

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La musique s’est aussi la trouver ou la créer, là où l’on ne l’attend pas.

Dave Cole a transformé ce rouleau compresseur de construction en une gigantesque boite à musique qui joue l’hymne officiel des Etats-Unis « Star Spangled Banner« . Il a fait quelques modifications pour que l’engin soit exposé au Cleveland Institute of Art notamment sont poids puisqu’il ne pèse maintenant plus qu’une tonne.

Le rapport entre la musique, l’art et la construction? Étrange comme concept!

 

De l’art dans un lieu désertique.

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Du Land Art? Non, je ne pense pas!

Voici une installation dans le désert de l’artiste Lea Donnan qui récupère des amas de couvertures et crée des tentes faits de patchworks de ces même tissus puis les installent dans des lieux à couper le souffle…

L’Art contemporain est impénétrables…

 

La fonctionnalité n’est pas drôle.

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« Functionality Kills the Fun »  est une série de meubles « cassés » qui existe pour un principe: la fonctionnalité est surfaite! L’artiste designer Lennart Van Uffelen essaie de trouver les limites des fonctions aux objets.

Les produits deviennent plus intéressants quand ils accomplissent leur mission en partie ou pas du tout. Dans les cas où la fonctionnalité est soumise à l’image que l’on voit, que se passerait il si l’objet était modifié par l’utilisateur lui même en lui donnant de la valeur ajouté?

« Jouer avec les limites de la fonctionnalité conduit à vous interroger en tant que designer et en tant que propriétaire. Il est important de créer une relation forte entre le consommateur et l’objet où l’humour et l’image sont tout aussi important que la fonction », dit l’artiste.

Par exemple, la bibliothèque est éclairée par un lustre mis en place par la force dans l’objet en question. La commode est un objet plus sculpturale. En la divisant en deux au début, elle devient non fonctionnelle mais par l’ajout d’autres pieds différents en font deux coffres fonctionnels. Avec la table, il crée une image humoristique impliquant du bois et une hache, une image pure contrasté par ces deux matériaux que sont le bois et l’acier inoxydable.

 

 

 

 

La vie mécanique des illustrations d’Audubon par Juan Fontanive.

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L’artiste Juan Fontanive a construit des espèces de machine « flipbook » perpétuelles qui représentent des oiseaux et des papillons volant à partir des illustrations de l’ornithologue Audubon.

Cette sculpture a presque tous les aspects des « flipbooks », ces petits livres dont vous tournez les pages très vite pour mettre en action un dessin. Elles sont assemblés à la main minutieusement pour contrôler la vitesse de passage.

C’est marrant de pouvoir voir une sérigraphie mobile en 2D être en mouvement par un procédé mécanique. Le mouvement devrait apporter de la vie et pourtant il donne l’impression d’être un système fantomatique et répétitif.

Voici les trois petites vidéo fait sur ces œuvres.

Gunjan Aylawadi, le motif en papier.

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Voici le travail de l’artiste Gunjan Aylawadi qui crée des sculptures colorées complexes qui semblent avoir l’apparence du textiles tissés. Cependant, si on observe de plus prés se n’est pas du tissus mais du papier courbé. Elle s’inspire des motifs de l’art islamique.

Le processus, long et complexe, peut demander des mois de fabrication pour une seule œuvre car chaque papier ( parfois recyclé) est roulé et assemblé à la mains.

L’artiste raconte: « ce que j’aime le plus dans mon travail, c’est de découvrir le regard des gens quand ils voient mon oeuvre et découvre l’ampleur du travail effectué ».

Le Big Bang par Anna Gartforth.

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Je vous avais déjà parlé de cette artiste Anna Gartforth dans l’article sur le Graffiti Vert et bien là, elle a encore frappé ou fait pousser si je voulais faire un mauvais jeu de mot comme les journalistes.

Son projet nommé « The Big Bang », montré au Club de Russie à Londres pendant l’exposition « The W Project« , avec comme principe de célébrer la Journée internationale des femmes en présentant un éventail d’artistes femmes.

« The Big Bang » est assemblé à partir de centaines de touffes de mousse recueillies à partir des murs de pierre autour de Hackney (un district du Grand Londres). L’installation représente la Terre-Mère comme un éclatement ou une explosion de semence, la naissance de quelque chose.

Le monde étrange de Rachel Baran.

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Très belles créations de Rachel Baran, une jeune et talentueuse photographe américaine âgée de seulement 20 ans. Vous allez rentrer dans un univers étrange et étonnant, à la fois sombre et naïf, flirtant avec le surréalisme avec beaucoup de poésie et d’onirisme…

La façade d’un bâtiment image ou réalité.

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« Façades de bâtiments isolés » est une série du photographe français Zacharie Gaudrillot-Roy. Cette série offre une vision d’un monde inconnu qui ne se compose que d’une image sans espace derrière elle, avec les regards des façades comme seul refuge.

Comme un château de sable.

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L’artiste californien Tchad Wright nous propose un travail en lien avec son passé, un écho des souvenirs d’enfance et de la réflexion sur la notion de banlieue. Dans cette série intitulée Master Plan, il fait l’amalgame avec le château de sable d’un enfant à l’architecture caractérisant une banlieue américaine d’après-guerre.

Avec l’utilisation de l’érosion comme un processus de réalisation de l’installation, il propose également une réflexion sur les actions du temps.

Tomas Saraceno est dans les nuages.

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Artiste, architecte et visionnaire, Tomas Saraceno veut, à travers son « utopie réalisable », conquérir l’espace entre le ciel et la Terre.

Son projet d’espaces d’habitation et de vie se décline comme un système de modules flottant dans l’air. Encore étudiant à l’école d’architecture de Buenos Aires, Tomas Saraceno marquait déjà les esprits par son originalité.

Après avoir fréquenté l’École nationale des arts plastiques de Francfort (la Städelschule), il a fondé dans cette ville un studio, employant jusqu’à 35 personnes.

Depuis son exposition à la Biennale de Venise en 2009, les plus grands musées se l’arrachent. Dans le musée berlinois de la Hamburger Bahnhof, Tomas Saraceno a installé des capsules transparentes accrochées à des cordes fines. À New-York, ses modules sont visibles sur le toit-terrasse du Metropolitan Museum pour former une Ville nuage, kaléidoscope réussi de la skyline de Manhattan. Des oeuvres poétiques d’une beauté saisissante qui défient les notions traditionnelles d’espace et de temps.

Le liens Arte d’un reportage fait sur lui