Arts

Vous allez aimer les jours de pluie.

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Voici un Street Art plutôt novateur qui ne passera pas inaperçu les jours de pluie, un art qui s’affiche sur les trottoirs de Seattle et devient visible seulement quand il pleut.

Ce principe vous permet d’apposer votre message caché ou votre œuvre surréaliste grâce à un produit qu’il faut appliqué toujours sur sol sec et n’apparaissent que lorsque la chaussé est mouillée.
Le Rainworks est temporaire, respectueux de l’environnement et est complétement non-toxique.

La musique en construction.

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La musique s’est aussi la trouver ou la créer, là où l’on ne l’attend pas.

Dave Cole a transformé ce rouleau compresseur de construction en une gigantesque boite à musique qui joue l’hymne officiel des Etats-Unis « Star Spangled Banner« . Il a fait quelques modifications pour que l’engin soit exposé au Cleveland Institute of Art notamment sont poids puisqu’il ne pèse maintenant plus qu’une tonne.

Le rapport entre la musique, l’art et la construction? Étrange comme concept!

 

Une petite laine?…

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Non, ce que vous voiliez en image n’est pas une nouvelle idée à la mode pour l’hiver très rudes prochain mais « le Pull Intégral » est un projet de combinaison en laine réalisé par le collectif d’artistique Andrea Crew pour une campagne publicitaire d’un fabriquant de produit d’assouplissant pour la laine. Ce projet est une création unique pour cette publicité et n’est malheureusement pas disponible sur leur E-Shop.

Le collectif conduit par Maroussia Rebecq est un joli mélange d’idée originale sur la mode, l’art et l’éthique pour une approche plutôt anti-conformiste.

 

 

 

De l’art dans un lieu désertique.

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Du Land Art? Non, je ne pense pas!

Voici une installation dans le désert de l’artiste Lea Donnan qui récupère des amas de couvertures et crée des tentes faits de patchworks de ces même tissus puis les installent dans des lieux à couper le souffle…

L’Art contemporain est impénétrables…

 

Suivez le fil jaune.

« Moving On » est la dernière vidéo en stop-motion de l’animateur Ainslie Henderson nominé aux BAFTA (Académie britannique des arts de la télévision et du cinéma).

Cette animation a été réalisé pour un clip vidéo pour le groupe de rock britannique JAMES. Il montre l’histoire de la vie et de la mort par l’intermédiaire de personnages constitué de ficelle jaune.

Mélancolique mais très bien fait.

Le point de croix de mémé s’expose dans la rue.

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Mamie reprend du service en s’exposant dans la rue. Urban X Stitch crée des œuvres magnifiques et colorées mêlant broderie et « Street Art » poussé à son extrême. Comme tous « Street Art » et œuvres éphémères, ils ont le mérite d’attirer l’attention des passants dans un environnement parfois pas très plaisant.

Un peu de beauté dans un monde brutes!

La fonctionnalité n’est pas drôle.

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« Functionality Kills the Fun »  est une série de meubles « cassés » qui existe pour un principe: la fonctionnalité est surfaite! L’artiste designer Lennart Van Uffelen essaie de trouver les limites des fonctions aux objets.

Les produits deviennent plus intéressants quand ils accomplissent leur mission en partie ou pas du tout. Dans les cas où la fonctionnalité est soumise à l’image que l’on voit, que se passerait il si l’objet était modifié par l’utilisateur lui même en lui donnant de la valeur ajouté?

« Jouer avec les limites de la fonctionnalité conduit à vous interroger en tant que designer et en tant que propriétaire. Il est important de créer une relation forte entre le consommateur et l’objet où l’humour et l’image sont tout aussi important que la fonction », dit l’artiste.

Par exemple, la bibliothèque est éclairée par un lustre mis en place par la force dans l’objet en question. La commode est un objet plus sculpturale. En la divisant en deux au début, elle devient non fonctionnelle mais par l’ajout d’autres pieds différents en font deux coffres fonctionnels. Avec la table, il crée une image humoristique impliquant du bois et une hache, une image pure contrasté par ces deux matériaux que sont le bois et l’acier inoxydable.

 

 

 

 

Art numérique ou décoration architecturale?

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Revisiter les traditions de l’art islamique, des mosaïques et des tapis traditionnels, tel est le travail de Miguel Chevalier et Michel Redolfi dans le Sacré Cœur de Casablanca.

Ce tapis magique transforme le sol de l’église en un gigantesque interface interactive avec des graphismes en constante évolution avec les mouvements des visiteurs. Le spectateur devient alors un acteur de l’oeuvre.

Avec cette affichage numérique et graphiques qui se multiplient, se divisent, se développent, et se transforment, rappelle les systèmes cellulaires et organiques. L’effet de la combinaison de la technologie organique et numérique de Chevalier rend l’installation presque psychédélique et est renforcée par la musique ambiante composé par Redolfi .

Pour voir l’installation en action , n’oubliez pas de consulter la vidéo de Claude Mossessian.

 

La vie mécanique des illustrations d’Audubon par Juan Fontanive.

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L’artiste Juan Fontanive a construit des espèces de machine « flipbook » perpétuelles qui représentent des oiseaux et des papillons volant à partir des illustrations de l’ornithologue Audubon.

Cette sculpture a presque tous les aspects des « flipbooks », ces petits livres dont vous tournez les pages très vite pour mettre en action un dessin. Elles sont assemblés à la main minutieusement pour contrôler la vitesse de passage.

C’est marrant de pouvoir voir une sérigraphie mobile en 2D être en mouvement par un procédé mécanique. Le mouvement devrait apporter de la vie et pourtant il donne l’impression d’être un système fantomatique et répétitif.

Voici les trois petites vidéo fait sur ces œuvres.

Gunjan Aylawadi, le motif en papier.

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Voici le travail de l’artiste Gunjan Aylawadi qui crée des sculptures colorées complexes qui semblent avoir l’apparence du textiles tissés. Cependant, si on observe de plus prés se n’est pas du tissus mais du papier courbé. Elle s’inspire des motifs de l’art islamique.

Le processus, long et complexe, peut demander des mois de fabrication pour une seule œuvre car chaque papier ( parfois recyclé) est roulé et assemblé à la mains.

L’artiste raconte: « ce que j’aime le plus dans mon travail, c’est de découvrir le regard des gens quand ils voient mon oeuvre et découvre l’ampleur du travail effectué ».